3 minutes pour se tester en futur(e) consultant(e) en histoire

Les 3 raisons d’y croire VRAIMENT

La numérisation massive d’archives ouvre des champs d’activités inédits.
L’histoire pratiquée comme recherche appliquée a une valeur économique : il existe des publics très différents prêts à dépenser pour en consommer.
L’exploitation de cette histoire marchande mérite d’être récupérée par les historiens.

L’état d’esprit à acquérir

Acceptez de vous situer dans une logique marchande en pensant à vos futurs revenus.
Développez votre projet sans a prioris ni complexes en suivant
éventuellement l’une ou l’autre petite formation bien adaptée.
Travaillez vraiment. Travaillez vraiment en y croyant vraiment.

Les 3 seules vraies questions à vous poser pour créer votre activité

Quels produits ou services de valeur historique pourriez-vous
vendre ? Comment les identifier ?
Comment parvenir à les (faire) vendre (fixer ses prix, trouver des clients) sans expérience en la matière ?
Comment les réaliser : avec quels partenaires ? Quels
outils ? Grâce à quelle petite formation supplémentaire ?

Le pitch pour définir votre activité de consultance en histoire

➔ Remplissez ce qui suit :

Je m’adresse à tel public (particulier, professionnel, associatif) qui éprouve des difficultés à … / l’envie de … à compléter
qui est véritablement prêt à dépenser parce qu’il obtiendra x (à définir sous la forme d’une liste d’avantages – plus facile, plus
rapide, plus rentable, sans plus devoir, impossible jusqu’alors, …) à compléter
en lui proposant une solution qui peut prendre la forme de (tel produit/tel service) à compléter.

Je me suis assuré que ce public était joignable … à compléter, suffisamment nombreux à compléter.

Je m’assure de formaliser le tout en une phrase (exemple de Projet-Histoire : faire de l’histoire : loisirs et métiers) à
compléter.

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